AVEC BLABLACAR SE DEPLACER DEVIENT UN JEU D’ENFANT !

BlaBlaCar, anciennement appelé Covoiturage.fr, est le premier site européen de covoiturage qui met en relation des conducteurs et des passagers recherchant un trajet. Bouger à tout moment et n’importe où tout en rencontrant des personnes, c’est maintenant possible !

« Ce sont des millions et des millions de places disponibles dans les voitures et inutilisées »

Frédéric Mazzella, fondateur de BlaBlaCar

Depuis 2004, le concept a bien évolué mais reste cependant aussi simple que sécurisé :

partager un trajet ainsi que les frais associés à plusieurs, le temps d’un voyage. Avec plus de 10 millions d’utilisateurs en 2014 BlaBlaCar est passé leader en matière de transports (rapport qualité/prix). Ce concept fait surtout de nombreux addicts chez les jeunes qui aiment garder leur liberté, et ne pas s’embêter avec des deadlines et des considérations financières. Tout est pensé pour faciliter les rapports entre conducteurs et passagers avant, pendant et après le service rendu.

Il faut compter en moyenne 20 euros pour un Bruxelles - Paris, moitié moins cher qu’un billet de train aller. Tout le monde y gagne, là est la valeur ajoutée de ce concept : le chauffeur, qui lui partage les frais annexes (essence et péage), le passager qui voyage moins cher qu'en train, et Blablacar qui prend une commission de 10% sur le paiement (seulement en France et en Espagne*).

Cette plate-forme en ravit plus d’un mais fait aussi beaucoup d’envieux. On pense, bien évidemment, au plus gros réseau ferré de France, la SNCF. Pour se faire une place face à BlaBlacar qui s’impose de plus en plus comme une alternative au train, voici qu’elle lance elle aussi son site de covoiturage IDvroom.com. Pour se démarquer, le site ne prélève aucune commission et s’intéresse uniquement au trajet quotidien (domicile – travail – gare). Il était urgent pour le groupe de réagir face à cette start-up avec à son actif - pour l’image - pas moins de 1.500 rames de TGV remplies chaque mois.

BlaBlaCar attire aujourd’hui les investisseurs, c’est pourquoi cette jeune entreprise va poursuivre son développement à l’international. Notamment en s’implantant en Russie et en prenant le large pour l’Amérique avec « de vastes étendues, des infrastructures de qualité et des habitants coutumiers des déplacements en automobile ».

C’est ce que l’on appelle une économie collaborative ou une économie du partage propulsée par la technologie qui a permis le développement foudroyant de cette offre. Tous ces éléments prédisent encore un bel avenir à cette plate-forme !

Faisant moi-même partie des 10 millions d’utilisateurs, je tiens à témoigner de mon expérience à petite échelle : des conducteurs qui vous adressent un message quelques heures avant le départ pour donner un rappel, qui sont à l’heure au point de rendez-vous, souvent très chaleureux et sociables, ils vous mettent de suite en confiance et prêts à vous inscrire pour le prochain covoit’ ! C’est limite si l’on ne se quitte pas avec un pincement au cœur pour les plus longues et intenses rencontres !

* explication : « Dans les autres pays, la mise en relation n'est pas encore payante, Blablacar préfère atteindre une masse critique d'utilisateurs. Résultat, le Français n'a pas encore atteint la rentabilité » Frédéric Mazzella

Mélissa Garrabos

#société