De la vie à Bruxelles, où ça ?

Après que les attentats aient tué l’activité bruxelloise, c’est au tour de la Ville de Bruxelles de s’y mettre.

A partir de début novembre, la capitale a donc fait appliquer sa décision d'interdire les terrasses et les chaufferettes qui selon elle, empiétaient sur la voie publique et bloquaient l'accès des services de secours. Cette mesure s’applique à partir du 1er novembre 2016 jusqu’au 31 mars 2017.

Selon l'échevine du Commerce, Marion Lemesre, c’est une question d’esthétique, de confort et d'agrément pour les visiteurs.

L’Ilot Sacré, c’était le coin animé dans le centre bruxellois où les touristes mangeait des moules et la jeunesse buvait une bière. En mettant cette action en place c’est tout Bruxelles qui dépérit, et les conséquences de celle-ci font peur. Le tourisme, on en parle ? Il est temps que les politiciens arrêtent de faire des lois pour leur notoriété mais plutôt pour notre avenir et celui des indépendants !

Pour beaucoup de restaurateurs, cette mesure suscite que des mécontentements, comme pour le gérant du restaurant « Les Terrasses » : « Cinq mois sans terrasse, cela fait un réel manque à gagner. Notre terrasse représentait à peu près 40 couverts ».

Les terrasses et les marquises pourront ressortir dès le 1er avril 2017, cependant beaucoup de restaurateurs se demandent si leur établissement n'aura pas fermé ses portes d'ici là.